Fusain – Pastel
Ce travail reflète les impressions que procurent les solitudes de la nature et de l’urbanisation lorsque celles-ci parviennent à cohabiter.
Les hommes y passent, comme des ombres, allant dans des directions différentes, déterminées et inconnues. Les rues sont à la fois chaleureuses et désertées. Les arbres continuent leur progression lente et sont garants de la continuité.
Plus encore, les arbres, les portes et les murs deviennent des reflets, transformés par les gouttes de pluie sur la vitre ; par le vent ou la tempête ; par le soleil de l’aube ou du couchant ; par le seul fait que les hommes sont pressés.